CAFÉ PHILO : Le progrès technologique nuit-il à la Nature ?

Jour de la Terre

Tel était le thème du dernier café philo proposé vendredi par Danielle à l’Espace Salvator. Avant que la discussion ne commence, la forme de la phrase est contestée, un débat est lancé pour la suppression du « forcément » qui pourrait orienter la réponse. Après un vote à mains levées, le thème du débat est reformulé :
Le progrès technologique nuit-il à la Nature ?
Le nombre des défenseurs du oui et du non était équilibré, le débat s’est déroulé de façon animée afin d’établir une synthèse des divers arguments.
Le progrès technologique est une création de l’homme, au service de l’homme. Le progrès technologique protège l’homme face à la Nature parfois hostile. L’homme fait partie intégrante de la Nature. Si celui ci nuit à la Nature il se nuit aussi à lui même. L’homme peut être destructeur et pense pouvoir réparer les dégâts causés grace au progrès technologique.
Pour aborder la question, l’échelle du temps est importante …
Si l’on se place dans la perspective de l’échelle humaine les dommages causés à la Nature sont importants, souvent irrémédiables.
À l’échelle spatio temporelle l’homme n’est qu’une poussière dans l’Univers, une égratignure face à la capacité de renouvellement de la Nature. L’humanité disparaitra sans que cela ne perturbe la Nature. La Nature se suffit à elle même.

Le miracle de la lumière

Parfaitement manifesté le temps d’une douce journée ensoleillée, cœurs et esprits unis dans le verbe révélé par Jacqueline KELEN.

Car c’est du cœur qu’il a s’agit. Non pas du coeur-organe participant à la circulation de la vie. Mais du cœur-centre. Centre de l’Homme. Vie-même.

En écho aux illustres SOCRATE, PLATON, PLOTIN, Raymond LULLE, Blaise PASCAL et Simone WEIL, Jacqueline KELEN témoigne d’un cœur siège d’intelligence, de compréhension, d’amour, de sagesse.

Un espace intime puisant son eau éclatante à la source, et seul capable d’étancher la soif de l’Homme. De ceux qui dépassent les sciences humaines pour emprunter le chemin d’une science divine.

Reconnaissante pour sa Présence comme pour sa Parole, Nouvelle Acropole Biarritz adresse ses sincères remerciements à Jacqueline KELEN.