La quête du centre par les mandalas
Au cours de la conférence Jung et le langage des mandalas, organisée par Nouvelle Acropole Paris 5, Laura Winckler, spécialiste de C. G. Jung a démontré que le mandala, image dynamique et centralisatrice, active la mémoire et l’imagination et aide l’homme dans la quête du sens de la vie. Sa pratique régulière peut permettre de transformer les émotions conflictuelles, grâce au travail sur les vertus et à la méditation et également d’atteindre la sagesse. Cette conférence a inauguré l’exposition Récit d’un voyage intérieur, organisée par l’espace Le Moulin au sein du musée Guimet. Le centre de cette exposition était Le Livre Rouge (Liber Novus), calligraphié et enluminé par C.G. Jung lui-même, dans lequel l’auteur s’est livré à un véritable voyage dans les profondeurs de la psyché, en partant de ses expériences sur ses rêves et également des mythes et symboles de l’Orient et de l’Occident. Parallèlement aux mandalas dessinés de C. G. Jung, l’exposition a mis en avant une série de mandalas tibétains et d’autres œuvres asiatiques pour lesquels l’auteur à montré toute sa vie son grand intérêt.