Archive d’étiquettes pour : écoute active

Maraudes hebdomadaire à Toulouse, tisser un lien avec l’autre

Nouvelle Acropole Toulouse-Maraude

Nouvelle Acropole Toulouse-Maraude

Certains vendredi soir à 19h, des volontaires de l’association Nouvelle Acropole Toulouse préparent soupes, boissons chaudes, sandwichs avant d’aller à la rencontre des sans-abris. Tout en offrant une boisson pour se réchauffer, il s’agit surtout d’un échange de personne à personne, qui apporte le sourire à tous. A travers cela, nous travaillons aussi notre capacité à être en lien avec l’autre à travers  l’écoute active, l’empathie, etc.

Participation libre au profit des sans-abris.

Renseignements : toulouse.nouvelle-acropole.fr / 06.04.17.34.56

Atelier d’écoute active

Nouvelle Acropole activité

Nouvelle Acropole, Atelier pratique "écoute active", Paris 5

L’’écoute active fut à l’honneur à l’Espace le moulin. Un groupe de sept personnes s’est prêté à des exercices stimulants pour parvenir à une écoute saine et épanouissante. Ainsi, les participants ont pris conscience des différentes causes d’une «non écoute» qui peut être d’ordre mental, émotionnel ou environnemental. Tout un ensemble est nécessaire pour favoriser une bonne écoute. Ainsi, suivant les découvertes de Carl Rogers, nous avons pu comprendre qu’une écoute active permet une relation authentique et constructive. Bref, un atelier enrichissant et passionnant à faire absolument !

Qu’est-ce que l’écoute active ?

Atelier d'écoute active à Paris 5

Grâce à un atelier proposé par le Centre de Nouvelle Acropole Paris 5, nous savons que l’écoute active, c’est pratique, cela s’apprend et s’affine. C’est un art qui ne peut s’exercer que dans la confiance. Pratiquer l’écoute active revient à dialoguer d’une certaine manière, sans a priori, en laissant l’autre s’exprimer, sans le brusquer, sans le juger. Par une écoute réelle, avec empathie et compassion, en devenant son miroir, on l’aide à aller plus loin, de façon à faire émerger les réponses ou solutions qu’il a en lui-même. L’effet peut-être immédiat, car on libère ainsi ce que la personne a à dire, ses émotions, ou bien se faire sentir quelque temps après, quand la chose a mûri et est apparue plus claire. On s’adresse à l’âme des gens, et pour les accompagner, on reformule leurs paroles. Et il suffit parfois d’un seul mot d’encouragement, en posant des questions, sans privilégier l’attitude « détective » ou « assistante sociale », pour clarifier.