Archive d’étiquettes pour : silence

Atelier pratique : les clés de la vie intérieure dans la philosophie orientale

Ce samedi 17 février 2024, 27 personnes sont venues pratiquer les trois clés de la vie intérieure : vide-silence-immobilité, lors d’un atelier proposé par l’association Nouvelle Acropole Paris 11.

L’immobilité, le vide, le silence, comme un point de départ qui nous permet de tout inclure, tout englober.
Travail sur la concentration, cette capacité que l’on a à fixer sa conscience sur quelque chose.
La concentration n’est pas l’isolement.
La concentration, ça se travaille.
C’est chercher en nous le centre, cet endroit à l’intérieur de nous qui est immobile, vide, silencieux.

La vie intérieure n’est pas une idée ; c’est une pratique.
Durant 3 heures nous avons pratiqué, et de notre vécu sont venues de multiples questions philosophiques.
Une après-midi riche de pratiques, d’échanges, et de prises de conscience.

Notre prochain RDV :
CONFERENCE le jeudi 22 février 2024 à 20h : Les philosophes de l’âme et les mystères de la vie intérieure – Maître Eckhart

https://www.eventbrite.fr/e/billets-conference-maitre-eckhart-805845795467?aff=oddtdtcreator

Bertolt Brecht, le spectacle de la terreur en Allemagne, en 1933

 

Spectacle Bertolt Brecht à Paris 5

La compagnie Le Moulin à Paroles a proposé son spectacle de fin d’année, Grand peur et misère du IIIe reich de Bertolt Brecht, à Nouvelle Acropole Paris 5, dans lequel furent montrées des scènes illustrant la terreur imposée par la machine nazie à toute la population allemande à partir de 1933. Comment glisse-t-on jusque dans les familles et au fond de soi vers la barbarie ? Une ambiance de suspicion et de délation empêche alors de vivre, de respirer, d’être soi-même.  Les personnages sont des gens ordinaires à qui la question de la liberté vient d’être posée. Et au fond de toute misère morale, due à l’intolérance et au pouvoir autoritaire, une lueur d’espoir subsiste toujours, grâce au courage de quelques-uns de dire non ! Une belle illustration de l’idée développée par la philosophe Hannah Arendt qui a montré la banalité du mal pour dénoncer des attitudes extrêmes dans une société en mal de fraternité.