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Être femme aujourd’hui

« Être femme aujourd’hui : renouer avec les mystères de la féminité », tel était le thème de la conférence organisée par Nouvelle Acropole Lyon. Un thème qui peut paraître surprenant en cette période de crise sanitaire et d’incertitude ! Et pourtant !

Par delà les idéologies transitoires, les grands mythes peuvent nous éclairer sur une dimension de la féminité qui soit source d’inspiration et force de vie et de paix pour nos défis actuels.

Après une introduction de l’évolution de la place de la femme dans l’histoire, quatre formatrices en philosophie pratique ont présenté chacune un des visages de la féminité, représentées par les déesses grecques Aphrodite, Athéna et Déméter, ainsi que la déesse Egyptienne Isis.

Plus de 50 personnes ont assisté à l’activité par vidéo-conférence et ont remercié chaleureusement les conférencières, pour ce moment hors du temps, où la beauté et la féminité ont rayonné.

Voici quelques témoignages:

Clara : « Merci à vous pour cette conférence, j’ai bien apprécié de connaitre ces archétypes dont certains que je ne connaissais pas du tout. Merci !!! »

Dorota : « Merci à toutes les conférencières pour vos présentations, c’était très intéressant et beau. »

Sylvie : « Merci beaucoup. Très belle initiative, sujet original et intéressant. A méditer. »

Qu’est-ce que l’Amour ? La réponse du Banquet de Platon

C’est à cette question qu’a tenté de répondre l’Atelier Théâtre de l’Espace Le Moulin, à Nouvelle Acropole Paris 5, devant un public venu nombreux, par la bouche des protagonistes du Banquet de Platon, dialoguant sur la question, et en dernier lieu Socrate, qu’ils interrogent, mais qui prétend « ne rien savoir de l’amour ». De même qu’il y a deux Aphrodite, la populaire et la céleste, il y a deux Amours : celui qui s’intéresse aux corps (inconstant) et celui qui s’intéresse à l’âme (durable), l’Amour céleste attirant les âmes vers le Beau et le Bon. N’oublions pas qu’un genre de l’espèce humaine primitive était l’androgyne et que Zeus, outré de l’orgueil de cet être double, décida de le diviser en deux. C’est ainsi que chacun ayant la nostalgie de sa partie manquante, a le désir irrépressible, insufflé par Eros, de la retrouver par l’union.