Ce vendredi 21 avril, dans le cadre du Jour de la Terre Mère, nous avons accueilli Jean-Pierre Ludwig qui à donné une conférence devant un public d’une vingtaine de personnes, sur le thème de l’intelligence de la nature.
Il nous a invité à nous interroger sur la vision que nous avons de la terre (est-ce un objet, est-elle vivante…), et à ce que cette vision nous invite à changer dans nos comportements.
La terre pourrait elle avoir un cycle évolutif qui lui est propre, suffisamment lent pour qu’elle paraisse statique aux yeux des hommes? Macrocosme et microcosme se répondent ils ?
Deux visions se confrontent aujourd’hui: matérialiste et vitale. Dans la vision vitale, prendre soin de la terre reviendrait à prendre soin de la vie qui s’y déroule.
Les découvertes du 20e siècle ont permis de mettre en évidence la prédominance de la relation de coopération dans la nature. La relation de compétition ne s’impose que quand l’équilibre d’origine est rompu.
La connaissance que nous avons du vivant a changé (vie du sol, intelligence des arbres, communication des plantes, cycle de l’eau…). Elle induit de nouvelles pistes techniques pour l’agriculture, et pour notre rapport à la Terre d’une façon générale.