Atelier Philo Vino : In Vino Virtus !

Dans le cadre de la 1ère édition du Festival « Nuit de la Philosophie » à Paris !

En clôture de l’édition 2022 du Festival « Nuit de la Philosophie » à Paris, un atelier mêlant les mystères de l’alchimie du vin à ceux des mythes et de la philosophie…

In Vino Virtus ! Quand les vertus de l’homme rencontrent les vertus du vin.

Une trentaine de personnes venues découvrir les mystères de Dionysos, d’abord en théorie… puis en pratique ! L’atelier ne pouvait se terminer sans une dégustation de vins. Un grand merci à notre partenaire L’Oeno Vice pour ce bel événement !

Une soirée enjouée, et riche de partages – tchin !

Café Philo : le mythe s’oppose-t-il au réel ?

Le samedi 19 novembre 2022, 40 personnes sont venues débattre avec philosophie lors du café philo organisé par l’association Nouvelle Acropole du 11ème arrondissement de Paris.

Le mythe s’oppose-t-il au réel ? Tel était le thème choisi pour clôturer en beauté la 1ère édition du Festival Nuit de la Philosophie à Paris !

Des débats vivants et animés, chacun ayant pu s’exprimer et entendre l’autre et ainsi, peut-être, voir se propres opinions sous un nouveau jour…

Devenir philosophe avec le Petit prince

Atelier pratique à la Cour Pétral

l’atelier s’est déroulé à la Cour Pétral en salle Excalibur

Cet atelier pratique et interactif s’est déroulé à la Cour Pétral samedi 24 septembre de 15h à 18h. Il a réuni une dizaine de personnes qui ont été enchantées par la redécouverte de la profondeur de l’œuvre.

Le conférencier, Olivier Larrègle, grand connaisseur du sujet et de toute l’œuvre de Saint Exupéry, avec son immense talent habituel, a fait découvrir la portée pratique de toutes les clés contenues dans Le Petit Prince. Pouvons-nous vivre plus heureux en redécouvrant notre âme d’enfant? En retrouvant le sens de l’émerveillement? En développant une véritable amitié avec des humains? En ayant confiance dans la nature et en sa bonne étoile? 

Retenons aussi le message d’espoir et de joie lancé par le Petit Prince. L’enfant des étoiles lorsqu’il rejoint sa planète, ( cet enfant n’est-il pas vivant en chacun de nous?), invite l’humain restant sur terre à s’ouvrir au prodige des étoiles:

« Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si toutes les étoiles riaient. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire! »

L’assistance a remercié pour ce moment, véritable cadeau, de profondeur, de joie et de poésie.

Platon et le mythe de la caverne

Rencontre Philo

Le paradigme de la ligne illustré par le mythe de la caverne.

Le 14 septembre, une rencontre philo pour donner une lecture incarnée du Mythe de la Caverne à travers des exemples contemporains. Cette allégorie nous a permis d’explorer une instance de la réalité qui nous enchaîne à des ombres illusoires. Sommes-nous ces prisonniers captifs, entravés par nos croyances, nos opinions et notre ignorance ou souhaitons-nous nous libérer de nos chaînes pour explorer les mystères qui conduisent vers la lumière ? Ce récit millénaire nous invite à pratiquer une philosophie atemporelle, en quête de sagesse.

Thésée et le Minotaure, la philosophie rencontre le mythe !

Thésée et le Minotaure, quand la philosophie rencontre le mythe !

Quand la philosophie rencontre le mythe, une histoire se charge de sens. Elle nous apprend un peu plus sur nous-mêmes. Ainsi, le célébrissime mythe de Thésée, nous apprend à sortir victorieux du labyrinthe de la vie !

Le labyrinthe, symbole universel, représenté dans de nombreux monuments, comme à la cathédrale de Chartres, nous parle du cheminement de notre conscience. Effectivement, il n’y a pas de progression de la conscience sans ce combat symbolique contre le Minotaure.

C’est ainsi que nous avons échangé autour du mythe de Thésée, raconté et expliqué par Anne-Marie, formatrice à Toulouse. En somme, une belle soirée conviviale de rentrée à Nouvelle Acropole Toulouse.

Pourquoi les humains ne respectent-ils plus la Nature ? 

Apéro Philo

« Pourquoi les humains ne respectent-ils plus la Nature ? » était le sujet de ce nouvel apéro philo du jeudi 25 aout qui a amené nombre de participants en quête de sens à élaborer leurs propres réflexions et celles issues du collectif qui s’est formé pour faire lien entre tous.

Toujours sur le principe de la maïeutique (dialogue Socratique), scandé par plusieurs moments clefs (un cadre avec des règles supervisées par un animateur) qui permettent de s’extraire de la confusion des pensées, chaque participant a pu à la fois exprimer et partager sa propre opinion…et la confronter à celles des autres.

La bienveillance, l’écoute et la mise en commun de nos questionnements inaugurent la co-création de concepts susceptibles de se rapprocher d’une vérité commune aux multiples facettes.

Ce soir, le thème proposé nous a conduit à nous interroger sur ce qu’était le respect, la nature versus la culture (ou bien Nature en tant que partie indissociable de l’homme), le divin, le sacré, la temporalité, l’animisme, la morale, la technologie et ses conséquences, la politique (consumériste, capitaliste), l’Ego (et son isme), le feu prométhéen parlé à outrance par l’organe politicien…

Toute la méthodologie mise en œuvre dans le but de faire la lumière sur un sujet complexe nous aura permis d’affiner notre pensée, la préciser, la débrouiller et parce qu’elle désigne ce que nous sommes intérieurement, nous introspecter. Cela ouvrira aussi la voie à donner corps à un esprit de groupe, un collectif vertueux où chacun s’entraide en faveur de la recherche et de l’approche d’une vérité, le tout dans une potentielle sagesse.

Ainsi, en l’espace d’un instant, d’une soirée, nos âmes réunies nous élèvent à devenir frères de(s) sens[1].


[1] A entendre dans sa polysémie.

L’homme, ami ou ennemi de la nature ? 

En ce soir du 28 juillet 2022, lors de « l’apéro philo de l’été » ayant pour thème « l’homme, ami ou ennemi de la nature ? », les participants – apprentis philosophes – ont apportés leurs contributions à un travail apparenté au dialogue philosophique (Socratique : la maïeutique). Il permet de dialectiser les réponses déterminées de chacun autour de la question posée jusqu’à en faire émerger la « vérité » dissimulée mais déjà en soi.

La particularité de la pratique philosophique – ici sous forme d’apéro philo – réside en un moment[1]  de réflexion à plusieurs avec pour objectif d’amener chaque participant à engager un questionnement qui exige des prises de positions (oui/non). Celles-ci seront argumentées et contre argumentées, sans pour autant, en finalité, apporter des réponses catégoriques et tranchées. Bien au contraire il va s’agir d’ouvrir des ensembles paradigmatiques qui vont permettre d’approcher un Réel sans toutefois l’écrire de façon définitive et dogmatique.

Le débat s’est porté essentiellement sur des interrogations autour de plusieurs aspects dont voici quelques exemples de sagacités (non exhaustifs) :

  • L’Homme, ennemi et source de catastrophes ; l’Homme, ami, interdépendant de la Nature, source de bienfaits.
  • Amitié envers la Nature et rapport au lien vital que l’homme entretien (dans une étroite dépendance) avec cette dernière.
  • Doit-on être conscient de ce qui nous lie à la nature afin de s’engager et agir en sa faveur ?
  • Le lien avec la Nature serait-il ce que l’homme lui concède, qu’il soit « amical », qu’il relève de l’amour ou bien à son extrême opposé (peut-il) relever de la haine ?
  • La « Nature » parce qu’elle est inhérente de la condition humaine » est-elle consubstantielle de la Culture ou bien en sommes-nous totalement coupé en tant que sujet « enculturé » (Margaret Mead, Anthropologue) ? Langage et culture (en terme d’effets de symbolisation) seraient-ils la condition essentielle pour que la Nature [existe !] soit prise en considération par l’Homme ?
  • Les termes « ami », « ennemi » sont-ils appropriés ? Peut-il y avoir un lien sans amicalité, sans amour ? Le Lien est-il dissociable de l’amitié (par extension de l’amour/haine) ?
  • Touche-t-on du doigt une réalité lorsqu’on tente de la décrire par la poésie, la littérature, les mythes, la science, les arts… quand bien même aucune description ne pourra rendre compte de ce réel si ce n’est de l’approcher ?

De fil en aiguille, les questions rebondissent telles des ricochets dans les profondeurs corticales de notre « appareil à penser les pensées » (Wilfred Bion, psychanalyste) pour enfin exulter et délivrer une vérité qui ne serait se dire qu’au travers des filigranes évanescents de notre dialogue socratique.

Ainsi la soirée prendra fin autour d’un apéro dinatoire pour lequel chaque participant aura amené une part de lui-même, tant en nourriture intellectuelle qu’alimentaire et sans que ne cesse bien entendu les effluves et saveurs rémanentes du fil d’Ariane que nous avons tissé ensemble pour accéder à une part de vérités et de liberté supplémentaires.


[1] [Espace de parole bienveillant ou chacun est à l’écoute de l’autre]

Apéro-Philo : la douleur peut-elle nous enseigner quelque chose ?

Tous étaient venus s’interroger sur la question « la douleur peut-elle nous enseigner quelque chose ? »

Nous sommes allés à la recherche des possibles avec sagesse, écoute et approfondissement.

Un grand merci pour cette belle magie

Apéro philo :  Être vulnérable, est-ce être faible ?

Un apéro Philo avec une dynamique extraordinaire hier soir.

Des participants d’une grande qualité étaient présents pour partager leur point de vue philosophique autour de la question « être vulnérable, est ce être faible ? »

La reconnaissance de nos vulnérabilités, sont au service de la force humaine et humanisante qui réside en chacun d’entre nous …

Café Philo animé

café philo : « puis-je être libre si les autres ne le sont pas ? »

Puis-je être libre si les autres ne le sont pas ?

La question est posée au début de l’atelier. Il s’agit alors d’oser prendre une position claire. ce qui n’est pas toujours facile pour tout le monde. Répondre « oui » ou « non » et argumenter. Le Dialogue philosophique comme la vie demande des choix clairs et engagés sans faux semblant. On ne peut s’observer soi-même que lorsqu’on ose exprimer son opinion.

Ici, il ne s’agit pas de s’étendre sur le sujet en accumulant des opinions mais de creuser une idée. Les participants ont joué le jeu par une écoute active et une capacité à remettre en question leur propre opinion de départ. Ceci a permis un échange riche et fécond. Plus intéressant que des réponses, ce sont de nouveaux questionnements qui sont apparus sur la liberté, l’obéissance, la transgression. Une forme de liberté ne serait-elle pas l’obéissance à nos valeurs, à nos principes …?

https://marseille.nouvelle-acropole.fr/